Qui doit réaliser l’évaluation des risques ? Juridiquement, la seule personne responsable demeure l’employeur. Ce dernier a donc l’obligation de résultat en matière d’évaluation des risques. Néanmoins, l’établissement du document s’effectue généralement avec les salariés. Cependant, certaines exceptions subsistent. Ainsi, des ressources externes s’utilisent pour l’évaluation des risques. C’est notamment le cas avec le comité d’hygiène ou les membres du comité social et économique. Même cas de figure avec la médecine du travail ou des cabinets de conseil.

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Quels sont les documents nécessaires pour évaluer les risques et élaborer un document unique ?

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En premier lieu, différents documents sont nécessaires. Leur utilisation reste déterminante pour actualiser le DUERP. Tout d’abord, prenez en considération le bilan annuel concernant l’hygiène et la sécurité au travail. Il s’agit d’un rapport regroupant l’intégralité des actions effectuées au cours de l’année. Cependant, ce sont uniquement des actions sur le plan de la sécurité et de la santé au travail. Ensuite, appuyez-vous sur le Papripact. C’est un document d’une importance capitale en matière de prévention des risques professionnels. De plus, c’est un document obligatoire définissant la totalité des actions de prévention. Non seulement sur l’année en cours, mais également par rapport aux années précédentes.

 

Enfin, n’oubliez pas le registre unique de sécurité. Certes, son utilisation reste facultative. Mais son intérêt est palpable pour regrouper tous les documents propres aux conditions d’hygiène et de sécurité.

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Quelles sont les prédispositions à prendre pour évaluer les risques en entreprise ?

À proprement parler, il n’y a pas de processus type. Mais l’évaluation des risques se base systématiquement sur trois informations distinctes. Premièrement, les résultats concernant l’évaluation des risques. Dans ce contexte, l’employeur définit les risques professionnels. Ensuite, ces éléments subissent une classification selon différents critères. La deuxième partie concerne l’inventaire des dangers et leur analyse. Donc, il est impératif d’identifier les dangers potentiels. Notamment sur la méthode de travail, l’utilisation d’un équipement ou d’une substance.

 

Cela aboutit à une analyse des risques sur les expositions potentielles et les situations dangereuses pour les salariés. Enfin, le regroupement des actions de prévention. À ce stade, l’entreprise dispose d’une analyse précise des risques et des dangers potentiels. Dans le document unique, plusieurs actions concrètes sont préconisées. Selon les résultats, différentes situations sont envisageables. Par exemple, la modification des consignes de travail.

Dans d’autres cas, la modernisation de certains équipements ou l’aménagement des locaux. Mais également, une formation spécifique pour les salariés. De cette façon, les salariés sont mieux informés des situations dangereuses.